9 décembre 2018
Mark SaFranko
‘You are going to be a famous person and you are going to spend the rest of your life living in different countries.‘
Naissance : 1950 à Trenton, New Jersey.
Education :
- A grandi dans une famille où la littérature n’avait pas sa place.
- « Grammar school » : grâce à son ami Franky, il lit son premier roman.
- Lycée : étudie dans un lycée de banlieue, y élargit ses horizons littéraires, notamment avec la découverte des écrits de Dickens.
- Université : études de droit en Pennsylvanie. Sait qu’il n’en fera finalement pas son métier mais développe un intérêt pour l’aspect criminel des personnages en littérature. Découverte de nouveaux auteurs tels que Dostoïevski ou Sartre.
Expérience professionnelle :
- Travail pour des journaux, mais ce n’est pas le style d’écriture qu’il préfère.
- Quelques publications de textes pour des revues américaines.
- Prête-plume chez un éditeur.
- Peintre et musicien pour son plaisir.
Son expérience d’auteur :
30 années très difficiles où il ne parvient pas à trouver un éditeur pour publier ses œuvres. Il finit par écrire une lettre à Dan Fante, qui l’adresse à un éditeur britannique pour publier Hating Olivia / Putain d’Olivia (livre inspiré d’une de ses relations amoureuses qu’il décrit comme toxique). Un éditeur français le contacte ensuite et propose de le payer pour qu’il vienne faire la promotion de son livre en France. Mark SaFranko a alors 54 ans, c’est le début de sa carrière d’écrivain reconnu.
Difficulté à s’affirmer sur le marché américain mais public enthousiaste en Europe.
Ecriture de nouvelles (sur une grande variété de thèmes), de romans, de pièces de théâtre…
Ecrit principalement pour lui-même tout en espérant que cela fasse écho chez ses lecteurs. Aime écrire chez lui, dans un cadre apaisant, et aime le contact du papier (n’est pas adepte des nouvelles technologies).
Septembre 2017 : Le Livre sur la Place à Nancy. Il rencontre une professeure à l’Université de Lorraine. De là verra le jour, quelques mois plus tard, le projet Ariel…
Le fruit d’un grand travail mais aussi d’une petite intervention de la Destinée…
Marie Lachaux, étudiante de M1 Langues et Sociétés / Mondes Anglophones